Cas Clinique 1:

  Un homme de 23 ans consulte pour un écoulement uréthral purulent. Son dernier rapport sexuel remonte à 8 jours. L’examen clinique montre un prépuce oedématié, une rougeur du méat qui laisse se sourdre une goutte purulente.

QUESTION N°1 : diagnostic envisagez-vous ?

QUESTION N°2 : Pouvez-vous proposer un agent infectieux comme responsable de cette pathologie ? Décrivez cet agent et son implication en pathologie humaine.

Vous voyez le patient deux semaines après l’institution d’un traitement comportant l’ampicilline + probénécide. Malgré votre antibiothérapie, l’évolution n’est pas favorable.

QUESTION N°3 : Par quoi pouvez-vous expliquer cet échec thérapeutique ?

Le laboratoire vient de vous faire parvenir la réponse : « présence de Neisseria gonorrhoeae. Cette souche est productrice de bêta-lactamase »

QUESTION N°4 : Devant ce résultat quelle votre attitude thérapeutique ?

QUESTION N°5 : En réalité, l’échec thérapeutique pourrait également s’expliquer par une infection mixte, quels sont les germes qui peuvent être impliqués ?